Notre visite du musée Calouste Gulbenkian nous fait maintenant découvrir une très belle collection de peintures. Voici La fuite en Égypte de Pierre Paul Rubens.
Toujours par Rubens, le Portrait d’ Hélène Fourment. Hélène Fourment fut la deuxième épouse de Rubens.
Voici d’après un dessin de Giulio Romano une tapisserie avec des angelots qui dansent (Mantoue 1540).
Dommage qu’il y ait eu ce reflet pour cette très belle peinture de Jean-Honoré Fragonard, L’île de l’amour.
Je n’ai pas réussi à trouver les références de la peinture suivante. S’agit-il encore d’un Fragonard ? Si quelqu’un a la réponse…
Voici un Portrait de madame du Barry par Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty, ou Gautier d’Agoty.
Suivent quelques peintures de Francesco Guardi qui nous rappellent notre Balade italienne au moment du carnaval de Venise.
Ces deux vues de la place San Marco semblent identiques et pourtant on pourrait jouer au jeu des sept erreurs – et même davantage – pour les distinguer…
Une autre peinture de Venise, mais cette fois nous la devons à Jean-Baptiste Camille Corot.
Si vous connaissez le pont du Rialto à Venise, vous serez très surpris par la représentation qu’en donne Francesco Guardi dans le tableau suivant. En fait, il a peint ici une conception architecturale imaginée par Andrea Palladio. Mais c’est finalement le projet à une seule arche d’Antonio Da Ponte qui fut choisi…
Toujours du même artiste, voici Les portes de l’écluse de Dolo.
Le tableau suivant s’intitule Capriccio et c’est encore une œuvre de Francesco Guardi.
Et pour terminer avec cette magnifique collection de tableaux de Guardi : Le canal de la Giudecca avec l’église de Sainte Marthe.
Une peinture de Jean-Baptiste Camille Corot : Les Ponts de Mantes.
Pour finir cette série – mais non la visite du musée – voici un Portrait de Legros par Auguste Rodin.
À suivre…
À Dom e-mots 