Parmi les haïkus que je vous ai proposés ici, il y en eut un qui s’intitulait Dégradé céleste. Il était illustré par une photo de ciel que j’avais saisie un soir devant chez moi. J’avais été fascinée par ces teintes irréelles que seule la nature peut produire. L’haïku était venu plus tard.

Ce dégradé céleste, j’ai voulu le reproduire avec mes pastels. Ce ne fut pas simple, d’autant plus que j’avais choisi les pastels gras qui sont assez difficiles à travailler. Voici le résultat de mes efforts.

Pingback: Les vignes – À Dom e-mots