En quittant la salle de la Niobé, une sculpture imposante capte les regards. C’est une copie du Laocoon, sculpture grecque antique représentant le prêtre troyen Laocoon et ses deux fils attaqués par des serpents. Elle fut réalisée par Baccio Bandinelli.
Quant à moi, j’ai eu un coup de cœur pour cette statue de Néréide sur un hippocampe, dite Galatée.
Nous avons pu ensuite aller sur la terrasse pour une vue imprenable sur le Duomo, le campanile de Giotto et le Palazzo Vecchio. En voyant cette sculpture réalisée par un artiste contemporain, nous comprenons enfin ce qu’était cette silhouette humaine aperçue d’en bas et dont je vous ai déjà parlé dans l’épisode de Balade italienne (40).
Notre visite guidée s’est achevée ici, mais nous allons découvrir seuls le reste des collections en descendant d’un étage. Voici une peinture d’Andrea del Sarto : Léda et le cygne.
De Giovanni di Lorenzo Larciani, Allégorie de la fortune.
C’est aussi à Giovanni di Lorenzo Larciani que l’on doit ce Portrait de jeune fille.
Le Portrait de Lucrezia Panciatichi est une peinture de l’artiste italien Agnolo di Cosimo, connu sous le nom de Bronzino.
Toujours du même peintre, voici le Portrait de Bia de Médicis.
La déesse de l’amour et de la beauté a toujours fasciné et inspiré tous les artistes. Voici Vénus et l’amour par Alessandro Allori. Vous pouvez retrouver la liste de tous les peintres exposés au Musée des Offices sur cet article de Wikipédia.
Ce tableau de Francesco Salviati représentant Le Christ portant sa croix a de quoi surprendre, tant l’expression songeuse et en même temps sereine du Christ contraste avec beaucoup d’autres peintures du même type.
De Giulio di Pietro di Filippo de Gianuzzi, dit Giulio Pippi, puis Giulio Romano, connu en France sous le nom francisé de Jules Romain, voici la Vierge à l’enfant.
Allégorie par Lorenzo Leonbruno.
Nous n’avons pas encore terminé la visite de ce fameux musée…
À suivre…