Un jardin peuplé de sculptures d’artistes talentueux donne un attrait supplémentaire à une promenade estivale. Ici, Elément d’architecture contorsionniste V de Jean Dubuffet.
L’esprit vagabonde et se laisse emporter dans les rêveries suscitées par les œuvres. C’est ce qui rend le parc de la fondation Pierre Gianadda si précieux.
Roue Oriflamme de Jean (Hans) Arp.
On peut même faire la conversation à la femme de bronze de George Segal, Woman with Sunglasses on Park Bench…
… ou s’attarder sur une pelouse ombragée comme Les Pique-niqueurs du dimanche d’Elisheva Engel.
… à moins que l’on ne préfère s’asseoir au bord du bassin pour contempler la Tête de Joan Miró.
L’Eau ou Grande Laveuse accroupie de Pierre-Auguste Renoir et Richard Guino.
Et soudain un colosse, le Grand Guerrier de Montauban d’Emile-Antoine Bourdelle.
Pour finir, nous aurions aimé découvrir les sculptures qui ornent les ronds-points de Martigny, mais il fallait rentrer… Dommage !
L’obscurité gagnait les montagnes… Nous avions de la route à faire !